Cet extrait est tiré de l’article « Alphalearning Revolution », de Jules Marshall, après trois ans d’entretiens avec des clients chez Alphalearning.

« (…) À mesure qu’il devenait clair que ce qui, au départ, n’était qu’un simple moyen d’apprendre aux dirigeants à lire plus vite se transformait en une véritable révolution médicale, Alphalearning a dû décider quel était l’objectif de son activité. “Il y a 200 000 personnes qui travaillent dans le domaine de la dyslexie rien qu’aux États-Unis,” disent-ils. “Que vont-ils dire quand nous leur annoncerons que cela n’existe pas ?” Après avoir présenté un premier compte rendu de certaines de ses découvertes lors d’une réunion à huis clos de psychologues spécialisés dans la transe, en Amérique, en 1990, ils ont été avertis qu’ils devraient prouver leurs affirmations avant de les rendre publiques, “ou être crucifiés.” »

Alphalearning s’est engagé à tester le système sur plus de 500 sujets, avec au moins 1 000 EEG, avant de faire la moindre déclaration. Le 500ᵉ sujet a été évalué à l’été 1995, juste avant qu’Alphalearning ne « rende publique » son approche.

En 1996, alors qu’Alphalearning donnait une conférence lors du Congrès international de l’EEG et du Neurofeedback, une preuve concluante a démontré que la dyslexie pouvait être guérie en 10 à 30 heures de formation.

Grâce aux liens ci-dessous, vous pouvez vous informer et comprendre comment et pourquoi la dyslexie peut être guérie en cinq jours, sans aucun médicament et avec des effets bénéfiques :

• Neurofeedback et Dyslexie – Au quotidien d’un cours
• Étude en double aveugle
• Étude de cas
• Julia Lowes
• James Douglas
• Dr H. J. H. Richards

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