LES PARAMÈTRES OBSERVÉS DE LA DYSLEXIE PEUVENT ÊTRE MODIFIÉS ET MAINTENUS
ÉTUDE EN DOUBLE AVEUGLE SUR LA DYSLEXIE ALPHALEARNING
20 sujets – novembre 2003
LE SYSTÈME ALPHALEARNING
Une Approche Empirique
CONTEXTE
De nombreux instruments actuellement commercialisés prétendent entraîner et équilibrer les hémisphères droit et gauche du cerveau, tout en abaissant simultanément son rythme alpha-thêta. Ils obtiennent de tels états grâce à une stimulation optique et acoustique électronique du cortex cérébral via les yeux et les oreilles de la personne utilisant tout type d’appareil de lumière et de son, communément appelé brain-machine ou mind-machine. En revanche, la technologie Alphalearning – BRAINWAVE I – est le seul dispositif qui, selon les dires, facilite et provoque une synchronisation cérébrale permanente grâce à une stimulation lumineuse et sonore, représentant ainsi une avancée majeure pour un traitement sûr, non invasif et efficace de nombreux types de troubles — dans les cas où il est scientifiquement prouvé qu’il existe un déséquilibre des activités électriques entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit — tels que la dyslexie.
La question essentielle est évidemment de savoir si cette innovation tient ses promesses. Autrement dit, la technologie et les techniques ALPHALEARNING, comme leur nom l’indique, accroissent-elles ces aspects du fonctionnement mental, à savoir l’équilibre cérébral, la coordination cerveau-yeux, l’état de vigilance, la clarté mentale et l’amélioration de la vitesse de lecture ? Et dans l’affirmative, ces fonctions s’améliorent-elles davantage que si l’on utilisait n’importe quel autre type d’appareil de stimulation lumineuse et sonore, associé à des techniques similaires ?
OBJECTIFS
L’étude actuelle a été conçue pour déterminer si les paramètres observés de la DYSLEXIE peuvent ou non être modifiés et maintenus, en tenant compte des aspects suivants :
- Équilibre cérébral et cohérence interhémisphérique ;
- Capacité à provoquer des changements d’état cérébral, nécessaires à différents types de tâches mentales – de 3 à 7 Hz pour la mémorisation, de 7 à 10 Hz pour l’acquisition d’informations, de 10 à 14 Hz pour le raisonnement logique ;
- Capacité à augmenter et à maintenir la vitesse de lecture à un niveau plus élevé, nécessaire à l’apprentissage normal par la lecture ;
- Mesure dans laquelle le système ALPHALEARNING est plus efficace que l’utilisation de tout programme « placebo » identique ;
- Les dimensions psychologiques « critiques » que le système ALPHALEARNING modifie ;
- L’effet de ces « dimensions critiques » sur la personnalité globale des personnes qui utilisent la méthodologie ALPHALEARNING ;
- Le schéma des réponses conscientes au PROGRAMME ALPHALEARNING, comparé à celui d’un programme placebo.
Ces objectifs ont été abordés par le biais d’une expérience empirique en « double aveugle » dans laquelle des patients dyslexiques pensaient évaluer un nouveau « programme de relaxation et de concentration ». La moitié des participants a utilisé la technologie de lumière et de son ALPHALEARNING – Lotus Wavemeter et les programmes Beta wake – pendant 10 jours, répartis en deux périodes de cinq jours par semaine (le « Groupe Expérimental »), tandis que l’autre moitié a utilisé un programme de lumière et de son « placebo », identique en tous points si ce n’est l’absence de la technologie ALPHALEARNING – le faisceau lumineux précis de 610 nanoAngstrons de l’appareil optique, synchronisé avec le son en parfaite concordance, phase et fréquence (le « Groupe Contrôle »). Les détails de ces méthodes sont décrits dans la section suivante.
MÉTHODES
Cette section aborde :
- L’échantillon ;
- Les mesures psychologiques ;
- Les mesures de vitesse de lecture ;
- Les mesures EEG ;
- L’analyse des données utilisées dans l’étude.
SAMPLE (ÉCHANTILLON)
Cette étude a été menée auprès de vingt personnes diagnostiquées comme dyslexiques par des professionnels, réparties en deux groupes de dix participants. Le groupe 1 (le « Groupe Expérimental ») a utilisé la technologie ALPHALEARNING, tandis que le groupe 2 (le « Groupe Contrôle ») a utilisé un programme « placebo », identique à tous points de vue, à l’exception de l’absence de la technologie ALPHALEARNING, pendant la même période et dans les mêmes conditions (tous les « patients » ont participé à dix séances de deux heures chacune, cinq jours consécutifs par semaine, sur deux semaines consécutives). Ainsi, toute différence observée entre les groupes ALPHALEARNING et PLACEBO serait principalement due à la technologie d’équilibre cérébral présente dans le premier, mais absente dans le second.
SAMPLE DEMOGRAPHICS (CARACTÉRISTIQUES DÉMOGRAPHIQUES DE L’ÉCHANTILLON)
Le tableau 1 présente une répartition de l’échantillon selon ses caractéristiques démographiques, en tenant compte du genre, du niveau d’études, de la profession et de l’appartenance religieuse des participants. Fait important pour les objectifs de cette étude : la grande majorité sont des étudiants pour qui la concentration et l’apprentissage jouent un rôle déterminant. De plus, ces caractéristiques sont, pour la plupart, représentées de manière équivalente dans les groupes ALPHALEARNING et PLACEBO, suggérant une fois de plus que toute différence entre eux, après avoir reçu leurs programmes respectifs de « relaxation et concentration », ne pourrait être attribuée qu’à la ALPHALEARNING TECHNOLOGY d’équilibre cérébral présente dans l’un mais pas dans l’autre.
Tableau 1
Caractéristiques démographiques de l’échantillon.
MESURES PSYCHOLOGIQUES
Un aspect important de cette étude réside dans l’évaluation de la structure de la personnalité des participants aux groupes ALPHALEARNING et PLACEBO, à la fois avant et après avoir suivi leur « programme de relaxation et de concentration » pendant dix jours. Cette méthodologie nous permet de déterminer quelles dimensions psychologiques, le cas échéant, sont affectées par la technologie ALPHALEARNING de façon plus marquée que par son équivalent PLACEBO.
MESURE DE LA PERSONNALITÉ
Les participants des groupes ALPHALEARNING et PLACEBO ont tous rempli un test psychologique standardisé avant et après avoir suivi leurs programmes respectifs. Cet instrument, le « 16PF », a été mis au point par le célèbre psychologue Dr. Raymond B. Cattell et ses collaborateurs de l’Institute for Personality and Ability Testing à Champaign, dans l’Illinois¹. Depuis quarante ans, il constitue l’outil de référence pour l’étude du fonctionnement normal de la personnalité. À cet égard, il présente plusieurs avantages : premièrement, son élaboration est fondée sur une démarche scientifique plutôt qu’intuitive ; deuxièmement, il est disponible en différentes formes parallèles, permettant ainsi des mesures « avant » et « après » exemptes de contamination, comme dans cette étude ; troisièmement, il évalue un large éventail de dimensions de la personnalité, dont l’INTELLIGENCE, qui peut ou non être liée à la TECHNOLOGIE ALPHALEARNING ; enfin, une abondante littérature psychologique consacrée au 16PF depuis quarante ans a rendu possible le développement de programmes informatiques d’analyse actuarielle de ses résultats, ce qui revêtira une importance particulière plus loin dans ce rapport.
Les dimensions de la personnalité mesurées par le 16PF dans cette étude sont les suivantes :
- Warmth : Chaleur
- Intelligence : Intelligence
- Emotional Stability : Stabilité émotionnelle
- Dominance : Dominance
- Impulsivity : Impulsivité
- Conscientiousness : Conscienciosité
- Boldness : Audace
- Sensitivity : Sensibilité
- Skepticism : Scepticisme
- Creativity : Créativité
- Awareness : Lucidité
- Insecurity : Insécurité
- Liberality : Ouverture d’esprit
- Self-Sufficiency : Autonomie
- Self-Discipline : Autodiscipline
- Tension : Tension
À ce stade, il suffit de noter que la signification psychologique de l’une quelconque ou de l’ensemble de ces dimensions pourrait constituer le ou les « facteurs critiques » liés à l’impact de la TECHNOLOGIE ALPHALEARNING sur ses utilisateurs.
JOURNAL QUOTIDIEN DU PROGRAMME
En plus de remplir le 16PF avant et après avoir suivi leur « programme de relaxation et de concentration », les participants des groupes ALPHALEARNING et PLACEBO ont été invités à remplir le même « Journal Quotidien du Programme » chaque jour pendant les dix jours de leur participation à l’étude. Pour chaque journée, cet outil spécialement conçu évaluait :
– Leur réaction au programme ce jour-là.
– Leur réaction au programme par rapport au jour précédent.
Ainsi, cet instrument mesurait les réactions conscientes aux programmes ALPHALEARNING et PLACEBO, tandis que le 16PF mesurait leur influence inconsciente, le cas échéant, sur la personnalité des participants.
MESURES DE VITESSE DE LECTURE
Des mesures de vitesse de lecture, effectuées via la lecture chronométrée d’un ensemble de paragraphes, ont été réalisées auprès de tous les participants des deux groupes – ALPHALEARNING et PLACEBO – avant et après cette étude. L’objectif était de déterminer la vitesse de lecture réelle ainsi que le degré d’amélioration éventuel. Le tableau 3 présente les résultats de la vitesse de lecture discutés dans la section « Résultats » de cette étude.
MESURES EEG
Les enregistrements EEG sont effectués sur tous les participants des deux groupes (ALPHALEARNING ET PLACEBO) en utilisant l’appareil Brainwave I pour analyser l’activité cérébrale de chaque participant et fournir la stimulation lumineuse et sonore adéquate en vue d’assurer l’équilibre et le contrôle du cerveau, ainsi que pour suivre l’évolution de chaque participant tout au long du programme. Cette partie de notre étude suit les procédures ci-dessous :
- Un EEG est enregistré en attachant 4 petits fils au crâne du patient à l’aide de languettes jetables et facilement amovibles, afin de visualiser son activité cérébrale sur l’écran de l’ordinateur. L’enregistrement est ensuite évalué pour déterminer les zones cérébrales fortes et faibles.
- Des lumières et des écouteurs sont utilisés pour transmettre certaines fréquences visant à synchroniser les 4 principales zones du cerveau. Le programme précis utilisé est basé sur les résultats du premier EEG.
- Des exercices de biofeedback sont réalisés, permettant au participant d’entendre et de visualiser ses propres fréquences cérébrales ainsi que l’équilibre entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit.
- Un second EEG est enregistré pour le comparer au premier, afin de mesurer l’effet et les résultats de la première session. Cet EEG sert ensuite à déterminer les paramètres de la session suivante, notamment les fréquences de lumière et de son à utiliser.
Ce séquençage s’appuie sur un test EEG standard de 4 minutes conçu par l’Alphalearning Institute, visant à vérifier les fonctions suivantes :
- Capacité à écouter de nouvelles informations et à apprendre
- Capacité à se détendre
- Capacité à lire et à apprendre
- Capacité à mémoriser ce qui vient d’être lu
- Capacité à se remémorer des informations passées
- Capacité à utiliser le raisonnement logique et à prendre des décisions adéquates
De ce fait, en seulement 4 minutes, 6 fonctions sont évaluées sur les deux hémisphères (gauche et droit) = 12 points de données x fréquence et amplitude = 24 possibilités d’évaluation de l’EEG, permettant de déterminer les meilleurs réglages de stimulation audio-lumineuse pour rétablir l’équilibre cérébral en cas de déséquilibre. Les résultats des EEG de cette étude sont abordés dans la section « Résultats » et les graphiques sont présentés en annexe A.
RÉSULTATS
Les résultats statistiques de cette étude sont présentés sous trois rubriques :
- Analyse des Composantes Individuelles
- Analyse de Profil
- Analyse du Journal Quotidien du Programme
La signification de ces rubriques sera clarifiée lors de leur examen ultérieur.
Analyse des Composantes Individuelles
Le tableau 2 montre les scores moyens obtenus au 16PF avant et après l’utilisation des programmes ALPHALEARNING et PLACEBO. Ces différences ont été analysées pour déterminer lesquelles, le cas échéant, sont statistiquement significatives.
En résumé, la notion de « significativité statistique », dans le contexte de cette recherche, signifie que la différence entre deux scores moyens au 16PF est suffisamment GRANDE et STABLE pour ne survenir que dans environ 5 cas sur 100 du fait du hasard — c’est-à-dire le « seuil de confiance de 0,05 » universellement accepté comme « significatif » dans la plupart des recherches en psychologie. Ces différences peuvent être résumées comme suit :
CHANGEMENTS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS
TABLEAU 2
Impact psychologique des programmes Alphalearning et Placebo
Scores moyens au 16PF
Groupe Alphalearning (N=10)
Groupe Alphalearning | Groupe Placebo | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Avant | Après | Différence | Avant | Après | Différence | ||
Chaleur | 3.5 | 3.9 | 0.4 | 4.4 | 4.9 | 0.5 | |
Intelligence | 6.7 | 7.9 | +1.2* | 6.3 | 5.8 | -0.5 | |
Stabilité émotionnelle | 5.8 | 6.9 | +1.1* | 6.2 | 6.3 | 0.1 | |
Dominance | 5.9 | 6.0 | 0.1 | 6.0 | 6.0 | — | |
Enthousiasme | 4.0 | 4.7 | 0.7 | 4.5 | 4.4 | -0.1 | |
Conscienciosité | 4.8 | 5.5 | 0.7 | 5.2 | 4.8 | -0.4 | |
Audace | 5.4 | 5.5 | 0.1 | 6.0 | 6.5 | 0.5 | |
Sensibilité | 6.3 | 6.7 | 0.4 | 6.6 | 6.2 | -0.4 | |
Scepticisme | 5.4 | 5.6 | 0.2 | 5.0 | 5.3 | 0.3 | |
Créativité | 6.8 | 7.5 | 0.7 | 6.2 | 7.1 | 0.9 | |
Vigilance | 4.8 | 5.8 | +1.0* | 5.2 | 5.3 | 0.1 | |
Insécurité | 5.5 | 5.6 | 0.1 | 4.9 | 5.5 | 0.6 | |
Ouverture d’esprit | 5.4 | 6.2 | 0.8 | 6.0 | 6.4 | 0.4 | |
Autonomie | 7.8 | 8.4 | 0.6 | 6.5 | 6.8 | 0.3 | |
Autodiscipline | 4.8 | 5.8 | +1.0* | 5.0 | 6.2 | +1.2* | |
Tension | 5.3 | 5.7 | 0.4 | 5.3 | 5.5 | 0.2 |
NOTE : Cette différence est statistiquement significative au seuil de confiance de 0,05 décrit précédemment. Le fait que l’AUTODISCIPLINE augmente dans les deux groupes (et, par conséquent, s’annule mutuellement) n’a rien de surprenant, puisque la nécessité de suivre le programme cinq jours par semaine pendant deux semaines en elle-même peut augmenter cette dimension.
En revanche, il n’existe aucun autre changement significatif dans le groupe PLACEBO, alors que l’INTELLIGENCE, la STABILITÉ ÉMOTIONNELLE et la VIGILANCE s’améliorent de manière marquée chez les participants ALPHALEARNING.
Ces résultats suggèrent fortement que la technologie ALPHALEARNING remplit sa promesse : elle offre au cerveau humain équilibre et contrôle, elle fonctionne et améliore les capacités mentales.
Par ailleurs, un programme PLACEBO — identique au programme ALPHALEARNING à tous points de vue, sauf sur le plan de la technologie psychophysique — n’a pas le même effet sur ses utilisateurs et, en réalité, produit peu ou pas d’effet du tout.
Considérations statistiques concernant les résultats de lecture
Tableau 3
Impact des programmes Alphalearning et Placebo sur la vitesse de lecture des participants
Participants | Avant | Après | Degré d’amélioration | |
---|---|---|---|---|
AGroupe Alphalearning | ||||
P1 | 138 | 1053 | 663% | |
P2 | 109 | 1181 | 983% | |
P3 | 45 | 940 | 1980% | |
P4 | 52 | 860 | 1553% | |
P5 | 54 | 460 | 751% | |
P6 | 80 | 770 | 862% | |
P7 | 163 | 985 | 504% | |
P8 | 135 | 890 | 559% | |
P9 | 122 | 740 | 506% | |
P10 | 50 | 224 | 348% | |
Groupe Placebo | ||||
P1 | 108 | 115 | 6,48% | |
P2 | 140 | 152 | 8,57% | |
P3 | 95 | 97 | 2,10% | |
P4 | 72 | 80 | 11,11% | |
P5 | 68 | 70 | 4,41% | |
P6 | 44 | 48 | 9,09% | |
P7 | 56 | 53 | -5,36% | |
P8 | 46 | 38 | 17,40% | |
P9 | 110 | 115 | 4,54% | |
P10 | 96 | 102 | 6,25% |
Les chiffres (tableau 3) ne laissent aucun doute quant à l’efficacité du programme ALPHALEARNING pour tous les utilisateurs de cette étude, montrant une amplitude du degré d’amélioration allant de 348 % à 1980 % – un résultat réel chez n’importe quel participant dyslexique.
En revanche, les participants du groupe correspondant (Groupe Placebo) n’ont montré aucun changement significatif.
Une fois de plus, la TECHNOLOGIE ALPHALEARNING a fait la différence, simplement parce qu’elle a permis à ses utilisateurs d’avoir un cerveau équilibré, totalement libéré de toute difficulté d’apprentissage après les deux semaines de programme.
ANALYSE STATISTIQUE DE L’EEG
Les graphiques présentés en annexe A (en fin d’étude) montrent clairement le déséquilibre cérébral initial chez tous les participants des deux groupes (20 sujets), ainsi que les effets observés après la conclusion du programme : un changement durable et bénéfique dans l’activité cérébrale des participants du groupe ALPHALEARNING.
Il est très important de souligner la clarté des modifications d’états cérébraux constatées dans l’EEG de chaque utilisateur du programme ALPHALEARNING : tous manifestent un contrôle de leur activité cérébrale, au fur et à mesure que varient les tâches mentales, lors de l’évaluation finale de l’EEG.
Le GROUPE PLACEBO, quant à lui, ne révèle aucun changement notable méritant un commentaire sur une éventuelle amélioration.
Dans ce groupe, le cerveau des participants demeure en déséquilibre après la fin du programme, confirmant ainsi l’idée selon laquelle la dyslexie – qu’il s’agisse d’une perte d’oxygène, d’un cordon ombilical autour du cou ou de tout autre événement intervenu pendant ou peu après la naissance – présente un dénominateur commun : le déséquilibre entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit, qui peut être réparé de manière permanente grâce à la TECHNOLOGIE ALPHALEARNING.
ANALYSE DE PROFIL
Une question s’impose évidemment : de quelle manière les acquis psychologiques qu’une personne retire de l’utilisation du SYSTÈME ALPHALEARNING modifient-ils sa personnalité globale ? Les récents progrès de l’informatique ont rendu possible des analyses actuarielles des résultats du 16PF. Autrement dit, le profil d’un individu ou d’un groupe peut désormais être interprété dans sa globalité, plutôt que comme une simple juxtaposition de scores individuels. Les résultats sont présentés ci-après :
Tableau 4
Évolutions globales du profil
Sens du changement | Positif | Négatif | Total |
---|---|---|---|
Profil Alphalearning | 10 | 0 | 10 |
Profil Placebo | 4 | 3 | 7 |
Total | 14 | 3 | 17 |
Les données du Tableau 4 indiquent que, en moyenne, les utilisateurs du programme ALPHALEARNING ont connu davantage de changements positifs de personnalité que leurs homologues du groupe PLACEBO. Et, en effet, c’est bien le cas. En appliquant le test statistique adéquat à cette distribution, nous constatons que les différences entre les deux groupes sont significatives au seuil de 0,05 ou au-delà. Par ailleurs, les dimensions réelles résumées dans le Tableau 4 sont les suivantes :
Tableau 5
Sens du changement
Alphalearning | Placebo | ||
---|---|---|---|
Positif | Négatif | Positif | Négatif |
Intelligence | Audace | Sensibilité | |
Stabilité émotionnelle | Imagination | Insécurité | |
Imagination | Expérimentation | Tension | |
Sérieux | Autodiscipline | ||
Sensibilité | |||
Vigilance | |||
Autonomie | |||
Autodiscipline | |||
Tension | |||
Moins conformiste |
JOURNAL QUOTIDIEN DU PROGRAMME
Les participants ont été invités à remplir un « Journal Quotidien » afin de consigner leurs réactions conscientes au programme. Les résultats de leurs notes figurent au Tableau 6. Ces données montrent que la principale différence entre les groupes PLACEBO et ALPHALEARNING réside dans le fait que le premier se trouvait « agité », « inquiet », tandis que le second faisait l’expérience d’un état plus « paisible » et « spirituel ».
Tableau 6
Commentaires verbatim du Journal Quotidien
Pourcentage total | Alphalearning | Placebo | |
---|---|---|---|
RÉACTION | (N=20) | (N=10) | (N=10) |
Relaxant/Paisible/Apaisant | 25% | 30% | 20% |
Expérience Corporelle/Visuelle Inhabituelle | 15% | 20% | 10% |
Agité/Inquiet/L’esprit vagabondait | 10% | 10% | 10% |
Une expérience spirituelle | 10% | 20% | — |
Plus centré/Moins stressé | 15% | 20% | 10% |
En paix/Heureux/Joyeux | 5% | 10% | — |
Vigilant/Conscient/Moins fatigué | 10% | 10% | 10% |
A calmé l’esprit | 5% | 10% | — |
S’est endormi/A ressenti de la somnolence | 20% | 10% | 30% |
A eu des prises de conscience personnelles | 5% | 10% | — |
ÉTUDE EN DOUBLE AVEUGLE SUR LA DYSLEXIE – DISCUSSIONS ET CONCLUSIONS
Les résultats de cette étude sont suffisamment clairs pour suggérer plusieurs conclusions importantes concernant le système ALPHALEARNING. Nous les présentons ci-dessous, d’abord de manière générale, puis en évoquant leurs implications marketing.
Conclusions générales
Pour commencer, ALPHALEARNING fonctionne réellement. Autrement dit, il fait bien ce que son nom laisse entendre : une utilisation quotidienne semble avoir un effet profond sur le fonctionnement mental de l’utilisateur, en augmentant :
INTELLIGENCE
STABILITÉ ÉMOTIONNELLE
VIGILANCE
CLARTÉ MENTALE
À l’inverse, un groupe comparable de personnes, exposé pendant la même période à un programme PLACEBO, identique en tous points hormis l’absence de la technologie ALPHALEARNING pour la précision des fréquences et de la longueur d’onde, n’a montré pratiquement aucun changement.
Ces gains psychologiques liés à ALPHALEARNING se traduisent par une capacité de jugement accrue, une créativité renforcée, une vision professionnelle plus large et un regard globalement plus détendu sur la vie — comme l’indique l’analyse actuarielle du profil recueilli. Une fois encore, le groupe PLACEBO ne présente aucune modification comparable de sa personnalité. Au contraire, ses participants ont trouvé leur programme « agitant » et « contrariant », induisant une divagation de l’esprit et les rendant « inquiets ».
Implications commerciales et marketing
En conclusion, le SYSTÈME ET LA TECHNOLOGIE D’ENTRAÎNEMENT CÉRÉBRAL ALPHALEARNING modifient indéniablement la personnalité de leurs utilisateurs de manière essentiellement positive et bénéfique pour la vie. De ce fait, bien qu’il ne s’agisse pas d’une « thérapie », c’est un outil thérapeutique. Son impact sur la STABILITÉ ÉMOTIONNELLE et la CLARTÉ MENTALE, comme déjà mentionné, représente un facteur essentiel du renforcement de l’ego chez les adultes normalement constitués, et en témoigne clairement.
Ces conclusions s’inscrivent parfaitement dans la tendance croissante en faveur de psychothérapies de courte durée ou de formules d’auto-assistance (self-help). Les modèles traditionnels de suivi psychologique individuel sur une longue période font place à de nouvelles technologies innovantes — allant jusqu’à la psychothérapie informatisée. Il serait donc pertinent de positionner le produit dans le cadre de cette évolution, comme indiqué ci-après.
Professionnels de la Santé Mentale
Dans cette optique marketing, il convient de garder à l’esprit la MÉTHODOLOGIE ALPHALEARNING. Autrement dit, les résultats obtenus sont « thérapeutiques » sans pour autant se présenter comme une thérapie. Dans ce contexte, ALPHALEARNING pourrait être proposé aux professionnels de la santé en tant que complément, plutôt qu’en substitution, à des consultations psychologiques et psychothérapies.
Grand Public
Auprès du grand public, on pourrait positionner ALPHALEARNING comme :
UN OUTIL ÉDUCATIF ET PUISSANT, PERMETTANT DES CHANGEMENTS PSYCHOLOGIQUES ET PHYSIQUES AVANT DE RECOURIR À UNE THÉRAPIE PROFESSIONNELLE.
Ce positionnement, ou un équivalent, tirerait parti de la capacité d’ALPHALEARNING à favoriser une amélioration globale de la personne, comme le suggère cette étude, tout en évitant toute prétention à remplacer un traitement professionnel.
Cliquez ici pour télécharger l’ANNEXE DES MESURES EEG DE L’ÉTUDE EN DOUBLE AVEUGLE SUR LA DYSLEXIE – 20 sujetsNeurofeedback et Dyslexie – le quotidien d’un cours
Étude de cas
Julia Lowes – L’histoire d’une dyslexique
James Douglas
Dr. H. J. H. Richards
À propos de la dyslexie